dimanche 27 mai 2018

"Journée de la jupe"

Ce vendredi 25 mai, le syndicat général des lycéens (SGL), a appelé filles et garçons à porter une jupe et/ou un stickers en soutient à la lutte contre le sexisme et les inégalités entre les hommes et les femmes. Cette journée a permis de sensibiliser les élèves aux différents problèmes que subissent les femmes au XXIème siècle. 
Dans une bonne ambiance, les élèves du lycée Jean Macé, que se soit lycéens ou lycéennes, ont joué le jeu lors de ce rendez-vous. L'initiative du SGL est de montrer que la future génération du pays est motivée et prête à se mobiliser pour l’égalité Femme-Homme.



Un panneau créé pour cette occasion indiquait que "une femme meurt tous les 3 jours sous les coups de son conjoint" en France, malheureusement, au cours de l'année 2017, 62 000 femmes ont été victimes d'un viol ou d'une tentative de viol soit environ 169 par jour et 7 par heure. Au cours de la vie, 1 femme sur 26 est violée, 1 sur 7 est agressée sexuellement.
Par ailleurs, une femme gagne en moyenne 16,7 % de moins qu'un homme. L'écart des salaires reste aujourd’hui encore élevé, la lutte pour une égalité parfaite est encore longue.

dimanche 11 février 2018

Ida Grinspan, une rescapée juive

Lundi matin, des lycéens de Jean Macé, de la Venise Verte, de Paul Guérin et des collégiens de Fontanes, Saint Exupéry et de Zola se sont réunis au Moulin du Roc pour écouter le récit d'une ancienne déportée d'Auschwitz, Ida Grinspan. 
Avant de commencer, elle dit aux élèves "je ne suis pas là pour me faire plaindre, mais pour faire connaître ce que des Hommes ont fait à d'autres, vous, les jeunes, vous devez le savoir". 
Ses parents quittent la Pologne 6 ans avant sa naissance à cause des poussées antisémites et arrivent en France, terre d'accueil avec une aura incroyable dans toute l'Europe occidentale. Même si sa famille ne pratiquait pas la religion juive, en 1939, suite à la déclaration de la guerre, Ida doit partir à l'âge de 10 ans à la campagne ( à 8 km de Melle) chez une nounou Alice, pour être en sécurité. Elle sera accueillie les bras ouverts au village même si tout le monde savait qu'elle était juive. En 1942, elle reçoit une lettre de son père lui expliquant que sa mère vient d'être déportée. Puis environ 1 an après, dans la nuit du 30-31 janvier 1944, trois policiers arrivent chez sa nounou pour arrêter Ida et lui explique que c'est ou elle vient ou son mari est arrêter. L'adjoint au maire du village essaye de négocier avec la police pour qu'ils n’emmènent pas Ida, mais cela ne marchera pas et elle les suivra à la gendarmerie de Melle. La police française emmena les juifs à la gare de marchandise à Dransy et les "abandonneront" aux bras des allemands. Ils monteront dans un train à bestiaux avec peu de lumière , de la paille par terre et un saut collectif hygiénique qui servira de toilette durant tout le trajet du voyage de 3 jours et 3 nuits, c'est l'une des premières humiliations.


Une solidarité immense naîtra 

Ils arriveront un dimanche matin à Auschwitz sous la neige et vont être accueillit sous des aboiements allemands "Dehors! Dégagé!". On leur explique qu'ils doivent laisser leurs valises et seront séparés à la force des matraques. Certains iront directement aux chambres à gaz et les autres vont être emmené au camps pour travailler. Ida aurait dû aller aux chambres à gaz car elle n'avait que 14 ans mais sa coiffure la vieillissait et  elle faisait au moins 16 ans. Sa coiffure lui a sauvé la vie. 
Au total, se sont 1500 juifs arrivés mais 1229 gazés et 210 hommes et 71 femmes au travail. 
Une fois arrivés dans une immense salle, des SS se sont mis à hurler "Déshabiller-vous", c'est la deuxième humiliation. Des femmes sont arrivées et ont tondu les cheveux, le pubis et les aisselles de toutes les femmes juives. Une autre équipe tatouaient un numéro sur leur bras. Ida n'avait plus d'identité, elle n'était qu'un numéro. Le 18 janvier 1945, les Russes se rapprochent de son camp, la marche de la mort commença. Elle marcha dans la neige, le froid, des femmes trop faibles étaient abattues à coups de crosse ou fusillées. Quand Ida arriva dans le nouveau camp, elle tomba malade et restera un peu plus de 2 mois à l'infirmerie. Fin Avril, les allemands quittent le camp car les Russes sont près de la ville.  En juin 1945, des soldats libèrent le camps et emmènent Ida et les autres femmes à l’hôpital où elles seront nourries, soigner. Quand elle retourna en France, elle retrouva son frère, mais ce n'était plus le même, la guerre l'avait changé.
Aujourd'hui, elle a un mari et une fille qui lui ont permis de la propulsée dans la vie. Vous pouvez retrouvez son témoignage complet dans son livre "J'ai pas pleuré!" ou sur Youtube 
( https://youtu.be/WNSaEr6WtLA )


H.

vendredi 2 février 2018

Lycée Jean Macé… Mais au fait, c'était qui Jean Macé ?

Qui était Jean Macé ? Un enseignant du XIXème ? Oui mais pas seulement…


Né en 1815 et mort en 1894, Jean François Macé est en réalité surtout connu pour être parmi ceux à l'origine de la Ligue de l'enseignement, une confédération agissant avant uniquement en France, mais ayant aujourd'hui également de l'influence en Europe, et qui depuis 1866 œuvre pour l'éducation populaire. En bref ce regroupement d'associations agit pour l'accessibilité à l'instruction, à la culture, aux loisirs, etc...
Et justement, c'est cela qui animait Jean Macé, lui qui écrivit plusieurs ouvrages et articles de vulgarisation pédagogique, et pensa de nouvelles manières d'enseigner. En plus d'enseignant il est donc pédagogue et auteur en fondant en 1864 avec Jules Verne et Pierre-Jules Hetzel: «Le Magasin d'éducation et de récréation». Cette revue littéraire à destination de la jeunesse qui a eu comme participants des personnes comme Élisée Reclus ou Alexandre Dumas était moderne pour l'époque par la présence de nombreuses images qui illustraient les récits publiés.
Et puis Jean Macé c'est aussi un personnage politique français de la III ème république qui devient en 1883 sénateur à vie et dont les idées contribueront à l'inspiration des lois pour l'école gratuite laïque et obligatoire.


En 2015, le nom le plus donné pour les écoles, collèges et lycées publics étaient «Jules Ferry» avec 642 établissement, mais «Jean Macé» donne son nom à pas moins de 235 établissements scolaires !

jeudi 1 février 2018

Un moment de partage inoubliable

Cinq réfugiés de différentes origines sont venus témoigner vendredi 19 janvier  au sein du lycée Jean Macé. Ce sont les élèves de la Première ES2 qui ont eu la chance de partager un moment de complicité durant cet après-midi. Cette rencontre a été organisée dans le cadre d'un projet spécifique à leur classe « Welcome » (d'autres articles vont être publiés pour en parler plus précisément). 
Tout d'abord, une présentation orale a été faite avant que les élèves puissent poser leurs questions.

Leur  voyage pour arriver en France a été extrêmement compliqué, certains ont du énormément marcher, d'autres se sont fait emprisonner plusieurs semaines voir plusieurs mois au cours de leur trajet ou ont du prendre un bateau pour traverser la mer...  Mais une chose a particulièrement surpris les élèves, le coût du voyage, qui pouvait aller de 2 000 à presque 10 000 euros.

Par la suite, les élèves, par groupe de sept, ont pu poser plusieurs questions à un réfugié. Pour le groupe de Louise, Margaux, Lola, Maxence, Odette et Hélène a partagé un instant remplis d'émotion avec un afghan.
Ils ont pu discuter de son voyage, pourquoi il était partit mais aussi échanger autour de la culture. 

"Je ne voulais pas que ce moment ce termine..."


 Ils ont appris que la danse traditionnel de son pays est l' «attan » (https://www.youtube.com/watch?v=FdfajKG3W2w), sa langue natale est le pachto... Malheureusement, il ne sait pas si il pourra un jour rentrer chez lui, retrouver ses trois enfants et sa femme. Pour Lola, cette rencontre a été « une claque, on est là à ce plaindre d'un ongle cassé et eux vivent l'horreur ». Louise ajoutera 
« j'ai été très heureuse de parler avec eux de découvrir les cultures de leur pays et de pouvoir parler de leur voyage pour arriver jusqu'ici. Cela m'a permis de voir qu'ils avaient beaucoup de courage » et Margaux finira en disant "j'ai été honorée
de pouvoir le rencontrer. On ne sais pas tout de son passé, de pourquoi il est arriver à se faire menacer de mort, mais découvrir sa culture, ses occupations, sa détermination pour avoir une vie meilleure m'a vraiment impressionnée. Tout le long de la rencontre j'avais envie de lui dire combien j'avais du respect pour lui. Ce n’étais pas de la pitié, c’était vraiment de l'admiration. J'avais les larmes aux yeux. Je ne voulais pas que ce moment se termine..."


Les témoignage ont permis de prendre conscience de la réalité du quotidien des réfugiés. Car souvent, les lycéens n'ont pas pleinement conscience de la gravité de la situation.


                                                                                                                                                           H.

vendredi 26 janvier 2018

Yeonmi Park, réfugiée de la Corée du Nord


Cette jeune femme de 22 ans est l’une des rares à avoir pu s’échapper de l'enfer nord coréen et par la suite à le dénoncer publiquement. Née en 1993 à Hyesan à l’extrême nord de la Corée du Nord où elle y grandit, avec son père, fonctionnaire du Parti des Travailleurs et sa mère infirmière. Elle vit dans un univers sombre comme tout
les jeunes Nord-coréens.


«Enfant, nous ne fabriquions pas de poupées. On nous faisait faire des tanks pour tuer ces connards d’Américains. Quand on nous faisait faire des bonhommes de neige, c’était pour ensuite leur tirer dessus avec des cailloux aux cris de meurs sale Américain»

La méfiance entre les individus règne, même au sein des familles. Ce régime dictatorial met un climat de peur, de danger perpétuel. Sa mère l’éduque en lui enseignant la méfiance.
                       «Même les oiseaux et les souris peuvent t’entendre chuchoter…»

A 9 ans, elle doit assister à l’exécution de la mère de sa meilleure amie «coupable» d’avoir regardé des DVD de films sud-coréens. Chaque année, se déroulent des défilés joués par plusieurs milliers d’enfants parfaitement synchronisés en l'honneur du pays, mais «où celui que se trompe meurt». Un de ses camarades est mort parce qu’il n’avait pas pu dire à ses professeurs qu’il était malade et qu'il ne pouvait pas y participer.
C’est la faim et la volonté de survivre qui l'a fait fuir avec sa mère. Elles parviennent à passer clandestinement la frontière en 2007, mais à quel prix ! Elle a alors 13 ans et le contrebandier qui les fait passer exige de coucher avec elle pour ne pas les dénoncer aux autorités. C’est sa mère qui s’est offerte à sa place.


En 2009, elle fuit la Chine toujours avec sa mère, en passant par la Mongolie et le désert de Gobi grâce à des missionnaires chrétiens et des militants des droits de l’homme. Les deux femmes arrivent enfin en Corée du Sud en avril 2009, où elles vivent de petits boulots de serveuse ou de vendeuse et  Yeonmi Park étudie en même temps à l’université de Séoul.
En 2014, elle retrouve sa sœur, qui avait tenté de fuir en même temps que les deux femmes et peu avant son père. La défection d’une femme étant jugée moins importante que celle d’un homme, celui-ci avait pu organiser sa fuite après elles.
La lecture de La Ferme des animaux de Georges Orwell la pousse à agir et à dénoncer le régime qu’elle a fui.
Aujourd'hui, elle fait de nombreuses
conférences comme le One Young
World à Dublin en 2014, vu sur YouTube


2 millions de fois. Yeonmi Park a écrit
un livre «Je voulais juste vivre» où elle
raconte sa bouleversante histoire.

vendredi 19 janvier 2018

Jérusalem sous haute tension






Un mois après la déclaration de Donald Trump de déplacer l’ambassade américaine de Tel-Aviv vers Jérusalem, reconnaissant de fait Jérusalem comme la capitale d’Israël, les tensions sont retombées mais toujours bien réelles.
Rappelons-le les conflictualités entre les deux communautés remontent en 1948 lorsque Israël avait proclamé son existence sur le territoire des Palestiniens alors que ceux-ci avaient refusé le plan de partage de l’ONU, annexant ainsi la partie-ouest de la ville même si elle n’avait jamais été considéré, avant le 6 décembre comme la capitale d’Israël.

Depuis le conflit n’est toujours pas résolu et Donald Trump a rallumé le feu en alignant la politique américaine sur les intérêts israéliens. D’ailleurs la droite israélienne a fortement applaudi la décision américaine : Benjamin Netanyahou_ le premier ministre_ a même prévu de renommer une station de métro Donald Trump (ce qui ne devrait pas déplaire au 45ème président des Etats-Unis). Pour les israéliens, en effet, comme pour la plupart des Juifs dans le monde, il est évident que Jérusalem est l’âme et la capitale éternelle du peuple juif. L’annonce du président constitue alors pour la population juive du Moyen-Orient un acte de portée historique. 
Le problème est que pour les Palestiniens, Jérusalem a la même signification. Comme le rappelle un journal local _Al-Hayat El-Jadida_ : ‘’Cette ville est l’emblème de la Palestine […] La Palestine est l’endroit où nous nous sommes trouvés depuis l’aube de l’Histoire et nulle part ailleurs’’. Jérusalem fait donc parti de leur profondeur historique, civilisationnelle. D’où les menaces de la part de l’Autorité Palestinienne (AP) de décréter la fin des pourparlers, mais aussi du Hamas (parti politique radical) qui appelle à une nouvelle Intifada, guerre de pierre tandis que la ligue arabe parle ‘’d’incitation à la violence’’. C’est dans cette même lignée qu’ont été brulés les portraits de Donald Trump en Cisjordanie et dans la Bande de Gaza en signe d’indignation. 

D’autant plus que cette décision intervient alors qu’Israël était prêt à céder à la Jordanie d’anciens riches quartiers arabes situés dans le Sud de Jérusalem-Ouest. Décision qui montre bien le peu de discernement et de compréhension de la complexité régionale de la part du locataire de la Maison Blanche.
J & J

vendredi 12 janvier 2018

Hommage Henri-Georges Clouzot




En ce moment à Niort il est possible que vous soyez passés devant des expositions, conférences, ou encore projections et installations tournant toutes autour d'un même artiste :
 Henri-Georges Clouzot. Ce cinéaste du XXème aurait cette année eu 110 ans, c'est pour cela que sa ville d'origine le célèbre depuis Septembre 2017 jusqu'à Mars 2018. Parce que oui, Henri-Georges Clouzot est niortais, il a vécu à Niort jusqu'à ses 15 ans et aujourd'hui le square de l’amphithéâtre porte son nom. Cet hiver de nombreux lieux culturels de la ville comme (pour ne citer qu'eux) le musée d'Agesci, le Moulin du Roc ou les médiathèques vous permettent donc d'en apprendre plus sur le cinéaste et son travail aux travers de visites et de rétrospectives. En bref n'hésitez pas à découvrir l'ensemble de cet hommage pour un important réalisateur mais aussi scénariste et producteur. Afin de vous donner envie de vous plonger dans son œuvre, voici ci-dessous la présentation d'un de ses films les plus connus, entre policier, drame et mystère: Le Corbeau.


Le synopsis est simple : un médecin d'un village de campagne reçoit une lettre l'accusant de plusieurs faits qu'il aurait commis. Le reste des habitants ne tarde pas à recevoir également son lot de dénonciations, le point commun de tous ces messages : la signature, « Le Corbeau ».
Ce mystérieux individu semble alors planer, lui et ses menaces sur le village où s'installe un climat de suspicion. Les gens s'observent du coin de l’œil et s'interrogent : Qui se comporte étrangement ? Qui a tord ? Qui a raison ? La force du film réside alors dans le subtil mélange de trois thèmes : la superstition, la maladie et le bruit.

Ce n'est pas un hasard si la première scène débute par la vision d'un cimetière et si elle fait écho au dernier plan que nous ne vous révélerons pas, rassurez-vous. Le cimetière donc, est le premier mauvais présage qui annonce l'ambiance parfois sinistre du film. Bien vite alors, on ne peut s'empêcher de chercher les signes qui s'accumulent : un numéro 13, un miroir brisé, ou encore le glas des cloches et un oiseau empaillé. Tout semble nous avertir, oui mais de quoi ? De la superstition, des rumeurs et des non-dits qui viennent altérer les jugements des habitants d'un village de campagne du XXème.
Un parallèle vient se créer entre le village et un malade, la fièvre devenant la tension engendrée par la superstition et la maladie étant « Le Corbeau ». La tâche est donc difficile pour le personnage principal, un médecin qui se bat contre des maladies, des choses qu'on ne voit pas, qui, en conséquence, sont invisibles. Et l'invisible devient plus pesant que jamais, les gens parlent
d' «épidémie » , de « contamination » et la lampe n'éclaire jamais qu'une partie de l'obscurité.
Une foule invisible mais de plus en plus bruyante se met en chasse durant une scène en quête d'un coupable. Même les bruits des enfants qui jouent grandissent en volume pour troubler non seulement le personnage anxieux mais également le spectateur qui tente alors lui aussi de découvrir la vérité.

L & L

dimanche 7 janvier 2018

L'animateur culturel

L'animateur culturel est celui qui va aider les élèves dans leurs différentes démarches, notamment au sein de la MDL (Maison des Lycéens), espace majoritairement géré par un groupe de lycéens, mais avec l'aide d'un animateur culturel sur les questions budgétaires. C'est lui qui permet le maintien de cette « institution », encore très récente, voire inexistante, dans beaucoup de lycées régionaux. Cela permet de mettre au service des lycéens des instruments, des baby-foot mais également des projets tels que le club théâtre. Il a donc un véritable rôle de médiateur entre le lycéen et son environnement afin de favoriser son épanouissement. 
Ainsi, il va également permettre la mise en place de projets artistiques et culturels autour de la santé et de la citoyenneté en faisant le pont entre professeurs et associations afin de monter des projets. Au lycée Jean Macé, ce sont les Sound Reporters et les résidences d'artistes (comme celle avec Luciole) en collaboration avec le Camji. Et aussi de faire le lien entre les festivals régionaux et les lycéens comme avec le Nouveau Festival où se représentera le club théâtre ou encore sur l'élaboration du Fanzine du festival Nouvelle(s) Scène(s). 
Le travail de l'animateur est donc de laisser une grande autonomie aux élèves tout en leur offrant un accompagnement dans leurs démarches afin que ceux-ci sortent un peu du cadre scolaire en enrichissant leur expérience lycéenne via des projets artistiques et culturels riches, visant à développer leur sens critique et leur bien-être.
C'est donc un métier primordial dans l'encadrement du lycéen qui permet la mise en place et le bon déroulement de toutes ces activités, et sans lui beaucoup de projets disparaîtraient car demandant une trop lourde charge de travail aux professeurs et lycéens.